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LE PAYS DE SUCRE ET DE MIEL
Je manque d'informations sur ces premières années en Tunisie.
Quelles étaient les formalités d'emmigration ?
Où vivaient les familles à leur arrivée ?
La solidarité entre emmigrants était'elle importante ?
Merci par avance pour tout ce que vous pourrez me fournir et qui m'aideront à complétez le site.
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la perpective de l'avenue jules ferry et l'avenue de france en 1950
GENEALOGIE : le jeu des "CINQ familles"...
Donc, IGNACIO MASOTTA et FRANCESCA, sa femme, s'installent en Tunisie, avec cinq enfants nés en Sicile, probablement à Gafour situé sur la carte près de Le Kef, si l'on peut interpréter ainsi les lieux de mariages de leurs enfants. Le quartier où ils vivent est trés cosmopolite. On pense qu'Ignazio continue d'exercer le métier de cordonnier. Ci-dessous : la gare de Gaffour.
...
Ci-dessous, la photo du baptême de Pierrette, fille d'Alexandre, où sont présents des membres de plusieurs lignées et générations ..Aidez-moi à compléter le puzzle !1 France Isoline FAUCHER, 2 et 3 les grand-pères : Pierre SPANO et Ignazio MASOTTA, 4 Noël FABRE, 5 Olga FABRE, 6 Suzanne FABRE (la marraine) tenant dans ses bras le bébé Pierrette MASOTTA, 7 Rinette PAOLI, 8 le père : Alexandre MASOTTA, 9 Michel FABRE ?...(à suivre)
C'est l'homme qui est tout à droite avec le casque colonial à la main, cette photo a été prise le 14 juillet 1947 à TUNIS lorsqu'il a reçu la croix de guerre avec étoile de vermeille décernée à titre posthume à Michel son fils décédé à Monté Cassino. (Il existe de fortes probabilités pour que ce soit le général De Gaulle en personne qui remette la décoration ; à vérifier)
Une réaction, un petit mot en passant de JeanJean, le fils d'Alexandre, qui a été un moment leur fils adoptif (voir plus bas) : ..."que de souvenirs surtout celle de mon tonton Jean. Les souvenirs des tartines de miel.. Son sourire complice lorsque je faisais le guet alors qu il fumait une cigarette. C'était un homme bon. Je suis heureux"..
Réaction de Gérard PIEDEBOUT :
..."J'ai pleuré en voyant la photo de mon grand père le jour de la remise de la médaille et surtout avec le commentaire de ton père sur les sourires entendus lorsque pépé Jean fumait une cigarette en cachette c'est vrai que ma grand mère ne voulait pas . De plus, je me souviens qu'un jour nous étions allés à Niort à pied (6 km de chaban où nous habitions). Il y avait mon grand père, mon père et moi. Nous étions entrés dans un bar j'avais eu droit à une grenadine et mon père et mon grand père avaient bu l'anisette mais j'avais eu pour consigne de ne rien dire à la grand mère en rentrant mais manque de chance c'était la première chose que j'avais dit ; peut être parce que je n'avais pas eu droit à l'anisette (sourire). Mon grand père me poursuivait dans la rue avec le manche à balai pour avoir vendu la mèche."...
Généalogie
Giovanni ou Jean, né en Sicile, à Barrafranca le 3 mai 1885, épouse Grazia (Gracieuse) ZAMBITO née le 12/02/1893 à REALMONT ( Italie - Sicile) à la paroisse du Rosaire en Tunisie en 1914. Il est naturalisé Français, il travaille aux chemins de fers Tunisiens (CFT: compagnie des fermes tunisiennes). Il est gravement blessé pendant la première guerre mondiale, mais vivra cependant trés vieux. Assez pour s'installer à la fin du protectorat quelque temps à CHABAN (79) près de Niort avant de partir pour Cerbère dans les Pyrénées Orientales (66). Ils y reposent tout deux, Grazia est décédée le 25/08/1983 à la Clinique St Joseph de PERPIGNAN, Jean meurt en 196.. à PERPIGNAN.
Témoignage de Gérard PIEDEBOUT, fils de Jeannette ( voir ci-dessous), sur le passé militaire de Jean MASOTTA :
..."mon grand père Jean (Giovanni) a fait son service militaire dans l'armée française. Je me souviens d'avoir vu à ST GERMAIN (dans leur villa en Tunisie) un cadre avec toutes ses médailles (croix de guerre, crois de guerre avec palme, médailles du combattant) je crois qu'il y en avait cinq ou six plus une pour tonton Michel à titre posthume ( voir ci-dessous). Avec ces médailles il y avait un genre de diplôme avec toutes les campagnes qu'il a fait (Somme, Verdun, Marne, Dardannelles, etc. Mon grand père n'a pas été gazé mais il a bien été blessé. Il a été enterré vivant par un obus et n'a été sauvé d'extrême justesse par ses camarades qui ont vu juste des doigts d'une de ses mains qui dépassaient de la terre et qui bougeaient "...
Enfants tous nés à Tunis :
L'ainé est Ignace, né le 02/01/1915 à TUNIS (qui épousera Adrienne MINEO à Hamam-Lif en 1947 à vérifier). Ensuite vient Françoise née le 24/09/1916 (celle que nous avons toujours appelé "tata poupée") puis Anna, née le 09/06/1918. Après : Michel, né le 28/06/1920 qui est mort à la bataille de MontéCassino (alors qu'il retournait au front pour la septième fois de la journée avec son camion pour livrer des munitions) Ensuite : Yvonne née le 28/06/22 (qui épousera Thomas TRIPOLI à M'rira en 1941 à vérifier, né le 20/07/1917 à Bir Halima (Tunisie) de Tripoli Joseph et Candida Rose (de Sicile), puis Marie-Louise, née le 28/01/1924, c'était "tata Marie" (qui ne s'est jamais mariée), puis Jeannette, née le 25/05/1925. Il y a eu après Odette, née le 31/08/1927 qui est décédée à Tunis le 25/07/1928 et enfin Roger, né le 26/11/1928.
Témoignage d'Odile TRIPOLI, fille de Thomas TRIPOLI et Yvonne MASOTTA
..."Nous sommes 4 enfants nés d'Yvonne Masotta et de Thomas Tripoli.
Maman née le 28/6/1922 à Tunis de Masotta Jean et de Zambitto Grazia
Décédée à Lyon en 2016.
Papa, né le 20/07/1917 à Bir Halima (Tunisie) de Tripoli Joseph et Candida Rose (de Sicile)
Décédé à Lyon en 1999.
Pour l'histoire, la petite famille est arrivée en France quand les
policiers ont été rapatriés de Tunisie en 56 (ou 57? Oui, papa était
policier).
...-L'aînée de la famille s'appelle Christiane née le 1/1/1944 à Hammam Lif.
-Puis Andrée née le 25/8/1946 à Hammam Lif.
-Alain né le 8/4/1951 à Hammam Lif
et la dernière, Odile née le 28/11/1953 à St Germain (oui,oui, c'est bien en Tunisie..).
D'après ma soeur Andrée, St Germain s'appellerait maintenant : Ezzahra....
Tu me dis que ton papa affectionnait son oncle Jean.
Cela ne m'étonne pas. C'était pour moi un SUPER grand-père qui restera toujours dans mon coeur.
Je t'en parlerai dans un prochain mail ainsi que mémé Grazia
(Gracieuse), tata Marie (Marie-Louise), tata Poupée (Françoise), tata
Jeannette etc....toutes ces personnes que j'ai tant aimé.
"
Photos,photos ....
Noël,Ignace le fils ainé
..
Michel : cette photo a été prise en 1940 ou 41 lors des chantiers de jeunesse. Il est décédé le mercredi 10 mai 1944 au cours de la bataille du Monté Cassino. Durant ces combats, qui durent du 25 JANVIER au 4 FEVRIER 44, le bilan est lourd : la moitié des effectifs du régiment (4ème RTT) et les trois quarts de ses cadres sont tués ou blessés (207 morts, 75 disparus et 1 090 blessés).
......
Jeannette
Sous la neige de février 1956...A mégrine...Chantal et son père Roger
Roger et sa femme Iris, leur fille Chantal :Bizerte Août 57
Saint-Germain en juillet 1960 : Serge Piédebout, Gracieuse Masotta ses filles Jeanette et Marie et Gérard le frère de Serge.
Vue actuelle de l'église de M'Rira, aujourd'hui un atelier de menuisier
Généalogie
Elle se marie à Gafour en 1920 avec Lucien FABRE, originaire du Vaucluse.
Enfants : Noël-Sauveur qui se marie en 1940 avec Rita ATTARD, en la paroisse du Rosaire, plus tard : le parrain de Pierrette de Alexandre,
Michel marié à Claude ISAMBERT Le Krib en 1940 ? Ou Gabrielle...?,
Suzanne baptisée en 1913, en la paroisse du Rosaire, mariée à Roger PAILLER au Rosaire en 1941,
Ignace, baptisé en la pariosse du Sacré Coeur en 1918, décédé en Alsace au cours de la seconde guerre mondiale. Voici les éléments que j'ai pu trouver sur le site Mémoire des Hommes (note de l'administrateur du site)
Lucienne surnommée Francette(en mémoire de la grand-mère Francesca), baptisée à Gafour en 1915;
Marie (marie-madeleine sur le registre de baptême), baptisée en 1925 en la paroisse du Rosaire
Olga (olga constance sur le registre de Baptême), baptisée en la pariosse du Rosaire en 1928, mariée à Ralph (dans le report des registres de mariage, on lit SEAL ? le nom probable est GLYNN) paroisse de ST-Joseph en 1946, émigrée au USA après la seconde guerre mondiale (voir dans la page Ailleurs).
Photos,photos ....
Photo 1 de droite à gauche : Marie FABRE, Suzanne FABRE, Lucienne FABRE surnommée Francette, Ignace FABRE décédé en Alsace, Noël FABRE, Olga FABRE puis au premier plan une petite inconnue et Michel FABRE
Photo 2 : Suzanne, Michel qui enserre la petite inconnue, Ignace, puis sur la moto qui appartient à Noël Fabre : il s'agit d'Ignace Noël MASOTTA de la lignée de Jean (Giovanni) puis Marie, Olga et Lucienne surnommée Francette
Noël Fabre jeune homme, chez son oncle Alexandre
C'est la jeune femme située à droite en robe sombre, ses yeux sont verts.
L'adresse manuscrite verticale mentionne "...à déchiffrer..............A Gaffour, 2ème avenue, N° 28, Tunisie"
c'est peut-être un indice pour trouver l'adresse d'installation de la famille...
Généalogie
Elle se marie à Gafour en 1912 avec Gaston FAUCHER, cheminot mécanicien roulant aux chemins de fer tunisiens, la CFT. Gaston Faucher a déjà deux filles en France d'un premier mariage. On raconte que Gaston a un tempérament plutôt difficile.
Ils ont vécu dans un premier temps à Gafour puis à Tunis, rue Gustave Flaubert. Ils reposent tous deux en Tunisie. Maria-stella est décédée en 1939 du diabète.
Les enfants :un premier enfant décédé prématurement, France, Estelle, Isoline est née le 6 fevrier 1915 à Gafour (marraine de Jean-Baptiste de Alexandre) , un autre enfant a dû naître et décéder prématurément, puis vint Marius, ensuite sont nés Henri, Françoise et Michel (jumeaux), Marie-Louise et Ernest agé de 16 ou 17 ans disparu sans laisser de traces en 1944..
Marius a été champion de Tunisie aux anneaux.
Henri, Michel et Marius se sont engagés pendant la seconde guerre mondiale, peut-être Ernest également...Henri a perdu la main droite en mission.
Presque tous les enfants de Maria-Stella et de Gaston sont venus dans la région parisienne après la guerre, Marius est parti avant puisqu'il s'était engagé et a combattu, puis il est resté en France. En résumé Marius, Henri, Marie-Louise et Michel s'étaient tous intallés à Puteaux (92),
Isoline (France) quant à elle, était partie de Tunis pour venir rejoindre une cousine (côté paternel -? ...) à Bourcefranc , en face de l'île d'Oléron et s'est mariée à Georges Marcel GUILLEBAUD né le 21 juillet 1912 à l'Ile d'Oléron . 6 enfants issus de cette union : J-Claude 1941, Serge, Marcel, Yves, Gilbert (dcd à Abidjan, Côte d'Ivoire) et Bernadette née en 1958.
Françoise elle, s'est mariée à un cheminot (encore un...) pieds-noir d'origine espagnole Antoine SOLER et a vécu jusqu'en 1962, en Algérie.
Françoise la dernière restée en vie nous a quitté en 2006.
Témoignage de Antoine Soler dit Tony, fils de Françoise (voir ci-dessus)
..."Gaston FAUCHER était cheminot aux Chemins de Fer Tunisiens, Antoine SOLER -mon père- était cheminot aux Chemins de Fer Algériens.... Mes parents se sont rencontrés chez des amis communs -peut-être des cheminots?- à l'occasion d'une communion. Ils se sont mariés le 13/11/1940 à Tunis et je suis né le 14/08/1941 à Batna, une ville des hauts plateaux de l'Est Constantinois en Algérie, située à 1000 m d'altitude. Je suis bien le fils d'un cheminot, arrivé à l'heure juste 9 mois après le départ. 22 mois plus tard, le 13/06/1943, sont nés Michel et Marie-France. Le "choix du Roi", avait dit le toubib ou la sage-femme à mon père à son arrivée à l'hôpital de Batna. Il pensait voir une fille après avoir eu le garçon 22 mois plus tôt. Quelle surprise! Le risque était réel, Françoise étant elle-même jumelle avec Michel FAUCHER. Face à cette situation, ma mère a demandé de l'aide. Et c'est ainsi que sa jeune sœur Marie-Louise a débarqué à Batna, venant de Tunis. Elle y est restée assez longtemps car je me souviens très bien de sa présence lorsque j'étais petit. C'est elle qui m'a "initié" au cinéma, j'aime toujours le grand écran depuis.
Pendant la seconde guerre mondiale, leur frère Marius est passé à Batna au volant de son GMC américain. Marius m'a souvent raconté que je m'étais fait une grosse bosse en jouant trop près de son camion. A l'exception de leur sœur France -la maman de Bernadette- qui, la première, est venue s'installer chez une cousine de leur père à Bourcefranc (Charente Maritime), tous les autres -Marius, Michel, Henri et Marie-Louise- se sont installés à Puteaux (Hauts-de-Seine) après la guerre. Le plus jeune des frères -Ernest-, probablement engagé dans l'Armée d'Afrique avant le débarquement en Italie ou en Provence, a disparu pendant la guerre et n'a jamais donné un quelconque signe de vie. Je me souviens que les gendarmes venaient parfois voir ma mère à Batna pour lui demander des renseignements. Je me souviens qu'un jour, mon père est allé à l'hôpital Maillot à Alger, car ils avaient repéré un certain Ernest FAUCHER en traitement dans cet hôpital. Mais ce n'était pas le bon."...
Photos,photos ....
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Gaston FAUCHER..........................................................Maria-Stella et France
Un courrier de Maristella à sa belle soeur daté de 1916
Marius ( sur la chaise ) et France
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Marius, Henri et Michel en militaires vers la fin de la guerre. Henri semble avoir le bras en écharpe et la main bandée.
Marie-Louise (16ans) et Ernest (14 ans)
Généalogie
Elle se marie à Gafour en 1909 avec Paul PAOLI.
Enfants probables : Valère marié à Jeanne MAMI en la paroisse du Rosaire en 1941
, Louise, Ignace marié à Jeanne LUISI au Bardo en 1946
, Reinette (ou Rinette) mariée à François ROSSI à Mégrine en 1942.
Photos,photos ...
Généalogie
Alessandro MASOTTA est né le 1902 à BARRAFRANCA et quitte la Sicile à trois ans. Il ne souhaite pas exercer le métier de son père : cordonnier et se fait naturaliser le 9 octobre 1924 pour rentrer au chemins de fer Tunisiens (La CFT). Il épouse Dorothée SPANO, jeune fille également issue de l'immigration sicilienne, le 24 avril 1926 à GAFOUR . Elle devient française le 10 aout 1927. Après divers postes, il devient chef magasinier dans un dépôt de la banlieue de Tunis. Dorothée décède en 1939 de la tuberculose, laissant Alexandre seul avec 4 enfants : Ignace, Francette, Pierrette, et le petit dernier Jean-Baptiste (3ans)...Dorothée, mourante, aurait dit à sa belle soeur Grazia MASOTTA, la femme de JEAN (voir plus haut) : "Gracieuse, je te confie Jean Jean (qui est le surnom de Jean-Baptiste)"
La famille était t installée à Ben Arous-Fochville, une des villes populaires de la banlieue de Tunis, dans une jolie maison (lire à ce propos l'apport de Mr Henri Bidaut, sur le livre d'or). Alexandre se remarie en 1940 avec une jeune femme du voisinage, issue également de l'immigration italienne Jeanne CASTIGLIONNE qui lui donnera deux autres garçons, Roger et Claude.
Les ainés grandissent et se marient, Ignace avec la fille du boulanger du bout de la rue, à deux pas, Paulette ROLLAND. Francette avec Charles CARABEUF, un normand touriste de passage (mais c'est une autre histoire). Estimé de tous, il anime la fanfare du village. Usé par une vie de bon vivant, il ne supportera pas les évènements qui conduiront à l'indépendance et succombera à une attaque cérébrale le 26 juin 1955 à Ben-Arous.
Il sera enterré avec sa première femme dans le petit cimetière chrétien de Fochville, en haut de la colline, dont il ne reste aujourd'hui plus que des vestiges saccagés (Lire manifeste)
Jeanne vendra la maison et quittera définitivement son pays d'Afrique pour la France n'y revenant qu'une fois dans les années 1980 pour un voyage qui lui laissera un goût amère et, pense-t-on, hâtera sa fin.
Photos,photos ....
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L'année de la Nationalité française....................................Service militaire...........................La famille SPANO originaires de Catalafimi (Sicile)
Franscesca SPANO, Pierre (Piétro ?) SPANO et Sauveur SPANO
Antoinette SPANO, la "mama" ? , Dorothée SPANO, future femme d'Alexandre
Alexandre, Ignace, Dorothée, Francette, Pierrette bébé................................Quelques années plus tard : école...
Le deuxième mariage avec Jeanne Castiglionne .........Devant "la Villa Campo", rue de Kérouan, à Ben Arous.
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Roger, Jean-Baptiste, une amie : Antoinette Brison, Francette, Pierrette..........................................Plus tard, Pierrette, Alexandre et Ignace
Le mariage du fils ainé Ignace, en uniforme des Spahis, avec Paulette Rolland.
En ballade à Marseille : Roger, Alexandre, Claude, "Mamie" : Jeanne Castiglionne, Charles, le gendre normand et Francette.
Jean-Baptiste devant la maison de Ben-Arous ................................................Alexandre à l'oeuvre avec des membres de la fanfare (Basile ? + inconnu)
Entrée des ateliers de la CFT à Ben Arous